Laure Rene

Sincères condoléances à tous les proches, tellement désolée de lire cette nouvelle

De Laure, je garderai le souvenir de son sourire et son énergie rayonnante. Toutes mes condoléances.

Laure c’était un éclat de rire tonitruant alors qu’il fallait être discret et studieux pendant les contrôles hospitaliers que nous faisions ensemble C’était la joie de vivre et une grande sensibilité. Un ovni dans le politiquement « correct et bien pensant » de l’institution. Les « ma poule , ma bichette, et même parfois des on s’en bat les … » me manqueront ! Toutes mes condoléances à sa famille. Philippe bothner

Rencontre et échanges sympathiques lors de réunions à Paris et d'un groupe de travail à Nancy. Je garderai un bon souvenir de Laure. Sincères condoléances. Danielle (ex RSI Alsace)

Bonjour, C'est avec beaucoup de tristesse que nous vous écrivons ces quelques mots… On dit que lorsqu'une personne disparaît, elle continue de vivre dans nos souvenirs. Nous aurons toujours une pensée pour Laure, qui a marqué nos esprits lors de son intervention "Octobre Rose " dans notre entreprise. Son sourire, son dynamisme, sa disponibilité et son envie de nous partager son parcours nous a marqué. Nous continuerons à diffuser les messages de prévention sur le cancer du sein triple négatif. Merci Laure Toutes nos sincères condoléances à l'ensemble de votre famille...

Laure,tu resteras à jamais dans mon coeur.Nous avons partagé nos années collège et lycée,avec nos fous-rires et nos secrets d'adolescentes.Tu as toujours représenté pour moi une personne forte avec une grande sensibilité.Notre dernier message échangé était empreint de pudeur et m'a fait un bien fou. Reposes en paix et comme tu disais" salut ma poule" Ma famille se joint à moi pour adresser nos sincères condoléances à toute la famille René

Tchao Doc ... Chatpeau Bas Laure, ton AURA nous accompagnera.

C'est avec une profonde tristesse que j'ai appris le décès de Laure. Toutes mes condoléances et mon soutien pour sa famille et ses proches. Après avoir partagé les bancs du collège, nous nous étions revue en 2015 et avions échangé sur nos parcours. Ce qui m'avais impressionné c'était son intelligence et sa détermination. Je ne pourrais pas, hélas, venir lui rendre les derniers hommages, mais mon cœur sera là se mardi.

Nous avions 12, 13, 14, 15 ans. Le sourire carnassier des ados en devenir. La bêtise aux coins des lèvres. Le fou rire en apnée. L'insouciance nous allait bien, ou ce que nous décidions d'en faire. Tu m'as tout de suite plu, ma Laure. Toi et ta gouaille. Toi et ta timidité cachée sous des tonnes de rentre dedans. Elles étaient jolies tes deux joues roses lorsque notre assistant anglais montrait le bout d'son nez. Nos manigances pour lui parler. Nos secrets des 14 ans. Sortir de l'enfance n'était pas chose aisée. J'ai gardé la photo où tu trônais au bureau de Mr Courtehoux, notre chouchou . Le tableau noir en arrière plan découvrait le corps humain et scellait déjà ton destin . Un signe, évidemment. Les aléas de la vie nous ont séparés pendant une période, mais tu as su nous retrouver. J'ai aimé te re-découvrir. Ton sourire n'avait pas changé. La période était difficile pour toi. Beaucoup de choses à régler. Je n'avais pas compris que tu souffrais déjà. Et puis 10 ans se sont écoulés... Et cette épreuve à surmonter. Tu peux être fière, ma Laure, fière d'avoir transmis le plus beau des messages. Ton élégance dans la douleur, ton combat pour les tiens, ton humour coûte que coûte. Ta dernière confession fût ta plus belle preuve d'amitié à mon égard. Merci pour tes mots. Merci pour ton réconfort. Nous nous sommes reapprivoisées, mais au fond, tout était simple. On ne désaime jamais quand on a vraiment aimé . Fais un beau voyage.

En dépit de la distance et du temps, j'ai toujours considéré Laure comme l'une de mes amies les plus chères. Bien que la vie nous ait séparées quelque temps, nous nous sommes retrouvées, 20 ans après, comme si nous nous étions quittées la veille. Nous avons passé dix ans à nous voir pendant notre jeunesse, puis ces dix dernières années à nous revoir ou à nous téléphoner assez régulièrement. En compagnie de Sandrine et Chadia, nous avons formé un quatuor inséparable, pendant nos années collège. Je me souviens de nos anniversaires, de nos sorties, de nos fous rires en cours d’allemand, de ce voyage à Paris où nous avions été toutes les deux sélectionnées pour participer à une émission télévisée, à laquelle contribuait cet autre champenois, Cabu. Je me rappelle aussi l’un de mes anniversaires où nous avions fait du bateau, et nous étions retrouvées malgré nous dans l’eau. Quand je repense à ces années, les années 80, je nous revois échangeant des confidences, nous soutenant dans les moments difficiles, riant, discutant, rêvant à voix haute, écoutant Paul Young et The Cure, puis tentant de garder le contact pendant nos années lycée, les premières années de fac. Je me souviens comme si c’était hier de notre dernière soirée, passée ensemble dans un café de Clémenceau, avant que le chapitre “jeunesse” ne s’achève. Nous avions 20 ans. Lorsque des années après j’ai su que Laure était devenue médecin, j’ai ressenti une telle joie, mêlée de fierté. J’ai imaginé les sacrifices, efforts, et combats de Laure, mais aussi le soutien des siens pour que Laure reçoive ces lauriers. Etonnamment, malgré les milliers de kilomètres qui nous séparaient, j’ai toujours su que nous nous reverrions. Après une vingtaine d'années, nous nous sommes enfin retrouvées. Et même si le quatuor ne s’est pas tout à fait reconstitué, nous avons tout fait pour reprendre contact les unes et les autres. C’est Laure que j’ai le plus fréquemment revue. Chaque été, Laure et moi essayions de passer du temps ensemble et je n’aurais manqué ces retrouvailles pour rien au monde. Nous rattrapions le temps perdu autour d’un bon dîner, d’un bon champagne et parlions sans fin de nos souvenirs, de nos projets, et surtout de nos familles. Le trésor le plus précieux et durable de Laure, c’était les siens, ses parents, ses sœurs, ses nièces, ses amis, ses chats. Son dévouement, sa générosité, sa vitalité ne connaissaient pas de limites, ce qui d’ailleurs caractérise les meilleurs médecins. Et c’est sans compter que la doctoresse prenait le relais lorsqu’il le fallait, auprès de ses proches. C’est en médecin avisé qu'elle a réagi face à la maladie. Quelle force de caractère et de volonté! Quelle exemplarité! Comme le disait récemment un autre membre de notre quatuor, Laure s’est battue comme une vraie lionne qu’elle était! M. et Mme René, Béné, Rose Lison, je vous adresse, à vous et à vos proches, toutes mes condoléances, mes pensées, mon affection et mon amitié. Ma mère, Colette, qui aimait tant Laure, se joint à moi en cette occasion. L’amour que vous portiez à Laure a fait d’elle cette personne extraordinaire qui va tant nous manquer. Notre chagrin est immense face à son départ, mais tâchons tous d’être à la hauteur pour lui rendre hommage ces prochains jours, ces prochaines années, et notamment, comme elle nous le préconisait, de sourire à la vie sans tarder.